Pierre JC Allard Pierre JC Allard 1er mai 2008 18:46

@ Salvador : L’édition au Québec - sauf le manuel scolaire - n’est pas un business viable. Sa survie est simplement affaire de bonne conscience des autorités politiques qui en on fait un volet de leur stratégie d’assistanat caulturel. La distribution des sous se fait sur fond de favoritisme et de népotisme et les beneficiaires constituent un petit groupe fermé. Les nouveaux joueurs ne sont pas les bienvenus.

Dans ce contexte, favoriser l’émergence d’in groupe étranger permet de faire un suivi sans risque de ses tentatives, puis de l’éliminer au moment opportun, en l’excluant des subsides, parce qu’étranger. Le moment opportun sera quand un grand groupe québécois ou franco-québécois sera convaincu de la rentabilité de l’entreprise. Les précurseurs comme Fleurdelys étaient simplement entre les tranchées au moment des permiers tirs d’artillerie et maintenant ce sont les blindés qui avancent... Pas comfortable d’être un fantassin et d’avoir des idées...

@ l’Auteur : ce texte devrait être présenté là. et un coup de fil à Marois avant les partielles ne serait pas mauvais

 

PJCA


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