Les autorails, assurant des services omnibus, desservent des petites bourgades (de moins de 3 000 habitants), voire des gares ou haltes isolées en pleine campagne, et permettent de relier entre elles des préfectures ou sous-préfectures...avez vous écrit.
On a pu apprendre dans un précédent article que 80 % du prix réel du billet était payé par l’impôt, alors que seulement 20 % par le titulaire du billet.
Il serait donc simple de rendre ce transport en commun gratuit ce qui multiplierait nettement son usage et donc sa rentabilié, car, tout comme les bus des centre villes, le plus navrant dans cette histoire est qu’ils voyagent très souvent, sur ces réseaux secondaires...presqu’à vide... !