maxim maxim 17 mai 2008 09:55

le service public est comme son nom l’indique au service du public ,et non l’inverse ,l’usager ( je trouve ce terme d’ailleurs dépassé )est donc en droit d’attendre le service dû au citoyen ,qui finance par son impôt ce service public ...

il y a donc un contrat passé entre l’usager et ce service public ,il y a donc rupture du contrat lors d’une grêve ,cependant la constitution de 1946 autorise la grêve à condition d’émettre un préavis ,sauf à certains fonctionnaires ,ceux assurant la sécurité publique et territoriale ...

les syndicats sont maintenant minoritaires et restent cependant implantés en force dans certains corps d’état ,ceux où le corporatisme reste le plus fort ,exemple l’éducation nationale ,majoritairement à gauche et même extrême gauche ,où les enseignants encouragent les enfants à défiler et manifester ,ceci pour défendre leurs privilèges ..

l’éducation nationale est chez nous une des institutions ayant le plus de moyens vis à vis d’autre pays d’Europe qui réussissent mieux avec les moyens moins conséquents ..

comment expliquer qu’il y ait 23000 enseignants sans poste ,payés à rester à la maison ,où détachés à des postes loin de leur vocation de base : enseigner ......

il y a donc une sérieuse réforme à appliquer ,mais evidemment ,les partis politiques de gauche trouvent là le moyen de faire pression pas tous les moyens pour défendre un clientèlisme tout trouvé qui les fait vivre ...

alors le droit de grêve ,oui bien sûr mais règlementé ,l’école n’est pas une cellule politique au service d’un parti ,mais un service publique destiné au public ....

et le public dans sa majorité a voté pour que les réformes soient faites !


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