HELIOS HELIOS 9 juin 2008 15:00

Non, non Arroc, je ne dis pas qu’on est coupable de ceci et de cela, je dis simplement que c’est nous qui les avons mis là où ils sont actuellement.... donc, nous n’avons qu’a nous en prendre à nous même.

Le fait de defendre une ideologie (libérale, par exemple) ou une autre (socialiste) n’a rien a y voir. Les deux modèles pourraient être acceptables si les un avaient un "certain" respect des autres, entre deux alternances. Ce n’est pas parce qu’on est elu avec 55% qu’on ne doit pas tenir compte des 45% qui ne sont pas de votre avis.

En l’occurrence, a jouer ce jeu de con, qui consiste a toujours elire les mêmes, c’est a dire ne pas sanctionner ceux qu’on a précédement élu, se crée une espèce d’impunité qui fait qu’une fois elus plus aucun d’entre eux ne se préoccupe de la volonté des électeurs.

Je préconise donc de permettre l’accession au suffrage (a minima) et l’election de gens qui n’etant pas encore impliqués, ont favoriser et rechercher l’intérêt de tous plutôt que celui d’un groupe ou d’une classe plus restreinte et detenant déjà d’autres sortes de pouvoirs.

Donc, sans perdre de vu le sujet de l’article, notre gouvernement et le premier des français devraient être attentifs a preserver l’interêt général... or, ce qu’il se passe est totalement different. A ce jour, l’état a perdu d’un coté (Bruxelles) beaucoup de ses prérogatives(que les lobbies se sont empressésde superviser, de plus encadré par un traité "incroyable"...) et de l’autre coté, a l’interieur, laissé libre cour a une desertification volontaire de la France propice a une mise sur le marché d’une masse de travailleurs contraints donc malleables : pouvoir d’achat laminé par le manque d’emploi et la pression de travailleurs non locaux, système bancaire verrouillant et coercitif, et enfin administration chargée de poser des murailles normatives pour qu’aucune tentative d’evasion economique ne puisse se faire.

Dans un premier temps le "village global" nous a permis d’augmenter vraiment notre pouvoir d’achat, sur la lancée d’une economie résiliente puis la réalité nous a rattrapé et aujourd’hui nous ne produisons plus rien, donc nous n’avons plus l’argent d’acheter quoi que ce soit, d’où que cela vienne.

On pourrait ainsi balayer dans tous les recoins, nous trouverions beaucoup d’éléments a charge contre toutes les décisions qui ont été prises et qui le seront encore dans les mois qui viennent... et qui sont a l’opposé de nos intérêts vrais....

 

 


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