Je pense que l’essentiel de votre pensée est résumé dans cette phrase que vous avez mise en gras : "Autant le droit de grève est constitutionnel, autant le droit de travailler ne l’est pas".
Magnifique. Et pouvez-vous expliquer aux gens d’où vient cette formidable différence morale, cette supériorité irréductible du droit de grève sur le droit de travailler ?
Pour quelle raison la personne qui n’est pas d’accord avec telle ou telle loi aurait-elle un droit supérieur à celle qui l’approuve ?
Expliquez-nous, parce que franchement, je ne vois pas...