Analyser un des travers de Sarkozy et s’en indigner ne fait pas forcément de moi un cocu du sarkozisme. A moins de souffrir de l’état d’esprit étriqué dont sont trop souvent affublés les "antisarko" compulsifs, on peut avoir voté Sarko et dézinguer sans état d’âme ses cotés obscurs sans jeter tout le reste.