Gilles :
La différence c’est que beaucoup d’Italiens font la différence entre Mussolini et Hitler. Il n’y a pas eu les mêmes excès racistes, sauf vers la fin. Avant il y avait certes la terreur employée contre les opposants (muselage ; tabassage, voire disparition pure et simple), l’exaltation de la personnalité du chef, la militarisation... bref, rien de pire que dans la Russie de Poutine. Mais pas d’Auschwitz. Et beaucoup de fasistes italienns jugeaient funeste l’alignement sur l’Allemagne.