Celui à qui l’on fait miroiter des crédits faciles, et qu’on entube par derrière, en appliquant des taux variables qui augmentent tellement que l’emprunteur ne peut plus les rembourser ?
Est-ce que oui ou non, les emprunteurs ont reçu les sommes qu’ils ont empruntées ? Et que sont-elles devenues ?
Telles sont les deux seules questions qu’il faut poser... Ce qu’il s’est passé ensuite est tout à fait secondaire.
A quand une pure race aryenne, hein, mon bon bois-guibert ?
Ce serait complètement inutile. Quand on voit ce qui s’échoue sur les plages européennes, la comparaison se suffit à elle-même : le Blanc n’a absolument pas besoin de s’améliorer davantage...