Et il n’est même pas dit que les banques soient sauvées : après une journée d’euphorie les bourses repartent en vrille.
- L’état a tellement été amputé de ses moyens d’actions régaliens - comme l’explique l’article - qu’il ne peut plus intervenir efficacement.
- La déconnexion totale de la spéculation boursière par rapport à l’économie réelle est toujours bien là.
- Les inégalités inconcevables il y a à peine un demi siècle et le peu d’importance accordée à la "vox populi" sont elles aussi toujours en place.
Donc rien n’est réglé.
Pour finir sur une note plus gaie : Qu’en est-il des banquiers manchots ?