Franchement, je ne vous suis plus. A parler sans cesse par citations interposées et impersonnelles, vous en arrivez à ne plus être très lisible...

Puisque vous ne comprenez pas des choses très simples, il vaut mieux que nous en restions là. Je ne vais toutefois pas vous laisser sur votre faim.

Vous écrivez, je vous cite, que vous êtes d’accord avec moi, que vous restez correct et que vous dialoguez. Comme je considère que nous sommes adversaires et que vous faites preuve de complaisance à mon égard, je vous oppose - "pour rire" - la citation de Cioran que je ne mentionnais qu’en partie, dans mon intervention d’hier, 12H27. Moi, mais ça me paraît tout à fait lisible.

S’agissant de la liberté d’expression, je ne sais pas où vous allez chercher que je la revendique, puisque je me suis contenté de noter que notre époque censure à tours de bras. Je n’avais pas voulu relever la première mention que vous aviez faite, mais puisque vous insistez…

J’ai l’impression que vous me prêtez des intentions, des réactions et des schémas de pensée qui soit sont les vôtres, soit sont ceux que je suis censé avoir… Ce qui n’est pas le cas.