Blackeagle 10 novembre 2008 17:24

Ce que vous dites n’est que pure pessimisme.
D’un point de vue historique les plus grands changements progressistes ont eu lieu lors de crise. Roosevelt a lancé son New Deal pendant la grande dépression, la premiére politique keynesienne au monde avec une trés forte part de redistribution puisque l’impot sur le revenue des classe les plus riches est monté à 80% et un fort endetement constructif de l’état. Les politiques keynesiennes redistributives et la mise en place de services publiques de protections sociales étendues en europe n’ont fait que suivre et amplifier ce mouvement. Sans Roosevelt, pas de front populaire. Pourtant la situation du pays sous Roosevelt n’a rien à envier à celle dont hérite Obama. Les marges de manoeuvres il les a largement ouverte. Tout dépendra du fait qu’il agisse vite ou pas. Il ne faut pas qu’il perde de temps. La situation économique extrement critique impose de revoir l’orthodoxie des choix qui ont été fait. 

Un déficit du budget excessif et le creusement de la dette américaine appliquée lors des politiques libérale étaient extremement handicapants pour l’économie américaine. Puisque ce déficit avait pour principal objet d’endetter les classes moyennes et l’ensemble des contribuables pour renforcer les priviléges de quelques uns. Qu’est ce que la crise des subprimes ? Elle est directement liée aux politiques libérales appliquées depuis Reagan. En suprimant le caractére redistributif des prélevements obligatoire et en dérégulant completement le systéme, cette politique a permis aux classes les plus aisées d’accroitre considérablement les inégalités et de s’approprier la majeures parties des profits. En conséquences de cet appauvrissement relatifs des classes moyennes, ces derniéres se sont retrouvées dans l’incapacité de subvenir à leurs besoins avec leur seuls revenus. En conséquences, pour que la consommation se poursuive, le recours massif au crédit insecurisé a été offert au classes moyennes (ce qui renforce encore les inégalité). Jusqu’au moment ou ce systéme s’est écroulé.

Au contraire un déficit du budget qui serai basé sur des investissements pour l’avenir : création d’une industrie "verte", développement et rénovation des infrastructures, allié à une politique fiscale plus redistributive ne constitue pas une perte d’argent mais un investissement. (théorie de keynes, celle qui a été appliqué de 1930 à 1980 au USA. il me semble que cette periode de l’histoire constitue certainement une des periode les plus prospére de cette nation). Compte tenue de la crise finaciére et de ces sonséquences potentielle, les puissances economiques sont disposées à de nombreuses concessions actuellement. Obama doit profiter du fait que ces puissances extremement influentes soit K.O. pour changer le cap. Il peut le faire s’il agit vite. Les fait qu’un budget soit en déficit est mauvais pour une politique libérale puisque ce déficit contitue de l’argent perdu. Si la politique est keynesienne ce déficit ne constitue pas une perte mais un investissement, il n’est donc mauvais en soit.



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe