Darwa 14 janvier 2009 04:06

Article bien écrit mais malheuresement faux. ¨Pour commencer c’est un lieu commun de dire que c’est grâce au Keynesianisme et à l’intervention de l’etat que la crise de 1929 à été endiguée. La mise en place du New Deal à certes diminué un peu l’impact de la crise maide façon totalement infime. Il aurait été judicieux de vérifier les chiffres avant de publier l’article. A la date de mise en oeuvre du new deal fin 32 le taux de chomage était de 23,6, les mesures de lutte contre le chomage et les grands travaux publics comme la Tenesse VAlley Athority ont été mis en place des 1933. Le taux de chomage est passé alors en 33 a 24,9 malgrés les plans mis en places. Les réformes bancaires n’ont pas d’impact sur l’emplois, le NIRA et le AAA ont permis de changer la donne et des 1934 le taux de chomage est descendu à 21,7 % puis 17% puis 14,3% en 1937, un succés mitigé puisque la grandeur des moyens mis en place n’a pas suffit à faire passer le taux de chomage sous la barre des 10. La chute de 10 % reste quand même un exploit mais qui ne doit pas faire oublier qu’en 38 le taux est remonté à 19% une remontée de 3% qui a failli remmetre en cause la politiqe du new deal. Ce qui a véritablement fait sortir les USA de la crise ce n’est pas le New Deal mais la production en masse d’armes pour la seconde guerre mondiale et la préparation à son entrée en guerre en 1942. C’est en 1939 que le taux de chomage a ainsi chuté.

De plus la crise de 1929 n’a rien à voir avec la crise actuelle. La crise actuelle est avant tout une crise d’insolvabilité. Ce sont les millions de prets octroyés et titrisé non remboursés du jour au lendemain qui sont le point de départ de la crise et non pas une spéculation à la hausse effrénées comme en 1929. Il y’a certes des points communs mais c’est aussi le ca avec toutes les crises boursières qui se déroulent quasiment toutes de la même façon. Même déroulement mêmes effets mais pas mêmes causes pour une fois.

IL est naif de croire que les marchés pensaient en une croissance infinie des prix de l’immobilier. Il est juste raisonnable de penser qu’au rythme de croissance de la population comparé a celui des constructions le prix de l’immobilier peut stagner ou augmenter c’est une prévision mathématique qui correspond à la lois de l’offre et de la demande le monde soufrant d’un manque chronique de résidences habitables mais aussi de bureaux.

De plus le problème nu retour au néolibéralisme contre le keynésia,isme est aussi un lieu commun.
Le problème se situe dans la répartition salaire dividendes qui n’a pas bougé depuis les années 50. Cela non suelement crée un surpls d’argent sur les marchés créant des bulles spéculatives mais aussi une incpacité des salariés a augmenter leur pouvoir d’achat, a consommer et aceesoirement à rembourser leurs prets subprimes...

Néolibéral ou Keynésien l’etat ne peut pas rentrer dans la politique de l’entreprise est lui dicter sa répartition des bénéfices entre capital et travail.

C’est un problèm ideologique. Un gouvernement aura t’il le courage d’imposer une taux de répartition des bénéfices entre capital et travail ?


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe