C’est relativement incontrôlable. J’aimerai pourtant jouer dans la cour des grands démagogues, et dire-du-mal-des-méchants- qui-contrôle-le-monde. Mais la concurrence y est trop dure, et comme on ne peut faire plaisir à tout le monde en simplement additionnant les monuments de conneries keynesiennes et marxistes où tout a déjà été dit, pour cause d’incohérence, je me contente de ma petite musique libérale, qui a bien du mal à se faire entendre derrière la fanfare anticapitaliste. Mais ce n’est pas grave : le monde tourne bien sans moi.