
bonjour frédéric de lyon
je ne vais pas faire une lutte d’expert faux laisser cela aux spécialiste et j’en convient avec toi que la planète à subit un certains nombres de révolution climatique qui ont emporté quand elles furent important le vivant d’alors. nous nous pouvons donc espérer y échapper et éventuellement migrer vers des lieux plus protecteurs. sauf que cet aspect n’est que l’iceberg, la partie immergé est la pollution, pour ne parler que de nous, du Rhône tu imagines que malgré son débit il est pollué au point que la pêche y est interdite que ses polluants ne se dissolvent pas et que tous les jours nous en remplissons la mer.
Un jour j’interrogeais un chercheur sur la manière dont il s’y prenait pour survient avec précision la circulation des courants océaniques. la réponse fut stupéfiante, ils se servent des éléments de pollution que nous rejetons pour les suivre. et comme ce chercher était français il n’expliqua que lui utilisait les radiations nucléaires rejetées en mer par l’usine de la Hague.
l’on peut douté de tout, l’on peut dire que tout ne peut se faire du jour au lendemain, l’on peut nier que fragilité occidentale tient à sa capacité de soin qui fragilise le système immunitaire, on peut convenir que sa technologie assure la prospérité, mais aujourd’hui nous savons à quel pris.
Le problème est moins la pollution que le nombre d’hommes qui polluent ; la nature met une semaine à résorber un papier, plus pour un bout de bois, plus pour de la ferraille, plus pour du plastique, plus pour des métaux dit lourds et plus pour des résidus nucléaires.
Sauf que cela va d’une semaine à 25000 milles ans ; alors quand l’on y réfléchit l’on se dit que le problème est la capacité de résorption de la planète, et qu’il devient donc primordiale de conserver se qui absorbe nos déchets et peut être de sélectionner ceux que l’on veut produire pour qu’il puissent être éliminer par la nature plutôt que de se promener dans les océans 25000 ans en augmentant chaque jours car un jour, comme les pluies acides de l’est de la France, ceux qui nous succéderont recevront une pluie radioactive.
il ne faut pas désespéré l’homme n’a pas été toujours celui que l’on connait donc nous avons une capacité d’adaptation sauf qu’elle est lente des millions d’année, il ne faut pas trop compter dessus sauf si par la science génétique nous faisons un hybride adapté à nos pollutions, il y a là un débat éthique, devons nous ouvrir la boite à pandore dont nous ignoreront la finalité pour exploiter quelque temps encore ces matières premières qui disparaitrons dans 250 ans, ou alors en rechercher un usage propre pour faire durer leurs usages compatibles avec leurs éliminations et leurs récupérations. c’est dans cette voie que nous sommes engagé, et elle exigera de trouver une autre source de croissance que la consommation à outrance sans renoncer à notre prospérité nous avons les moyens et les hommes pour le faire si on leur assigne ce but.
cordialement.
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