que ce soit dans le domaine sportif ou ailleurs (monde du travail par exemple, ou artistique) , ce qui détermine l’"abus" sexuel, c’est uniquement le non-consentement.
Il est évident que sans parler d’agressions ou de viols caractérisés, entre un(e) sportif(ve) et un entraineur par exemple, il y a un rapport de dominance à dominé, d’enseignant à élève, bref, d’une personne ayant autorité sur une autre.
Et qui place dont l’"autre" en position de faiblesse psychique. Donc il peut parfaitement y avoir des cas ou le "consentement" est bel et bien plus ou moins subi, par crainte de mesures de rétorsions. Et cela est condamnable.