lisca lisca 2 mars 2009 20:16

Je ne suis pas très versée sur la politique du président Calderon, mais il faut peut-être relatiiviser. Il est mentionné dans l’article que des groupes non mexicains prétendent dicter la conduite du président vers ce que ce dernier a appelé "capitulacion". Il s’agit tout bonnement de céder aux narcotrafiquants, afin que les frontières restent ouvertes, et que ces groupes non mexicains puissent faire la pluie et le beau temps dans le pays, c’est à dire main basse sur ses ressources pétrolières et argentifères, ou peut-être pire encore, sur les trafics de stupéfiants.
Calderon, par ce cri de colère, révèle donc un certain degré de patriotisme. Déjà étranglé par une situation presque ingérable et des banques puissantes, il se peut qu’on lui envoie aussi dans les jambes quend il ne se montre pas assez docile, des mouvements de protestataires indiens ou non, bien chauffés par des agitateurs "humanitaires" et une pauvreté sans espoir. Cela s’est vu souvent, surtout lorsque George Soros débarque quelque part. Les problèmes sont là, les agitateurs n’ont qu’à agiter, et voilà le président qui essayait de mener une politique indépendante d’amélioration, confronté au désordre et contraint de NE RIEN FAIRE.


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