Je conçois difficilement, chère Italia, que l’on manifeste en 2002 quand Le Pen arrive au deuxième tour face à Chirac, au nom de valeurs républicaines s’opposant au racisme et aux idées nationalistes du vieux borgne breton et blanc pour exalter six ans plus tard les idées racistes et nationalistes d’un jeune con antillais et métis. Je conçois tout aussi mal qu’au nom d’une fantasmatique "défense des faibles face aux forts", l’on intervienne dans une discussion sereine pour jeter l’opprobre sur une pensée dissidente, en l’occurrence la tienne, que je partage, comme tu le sais.