FYI FYI 12 mars 2009 14:16

@ l’auteur :

Vous avez parlé de l’arnaque du peak oil, que j’ai dénoncé plusieurs fois dans différents posts déjà, j’aimerais désormais en corrolaire vous parler de l’arnaque du changement climatique lié aux activités de l’homme (je ne dis pas que l’homme ne pollue pas)

				 				Conférence de New York : sale temps pour le mensonge du réchauffement planétaire 				 				

Du 8 au 10 mars s’est tenue à New York une conférence internationale sur le changement climatique organisée par le Heartland Institute, un think tank d’inspiration libérale basé à Chicago.

Une centaine d’orateurs de haut niveau y a mis en pièces la théorie très officielle du « réchauffement climatique » dont l’homme serait l’unique responsable. Cette thèse, élaborée par le Groupe d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) créé par le Programme des nations unies pour le développement (PNUD) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM), fut popularisée par l’ancien vice-président Al Gore et son film Une vérité qui dérange. Les organisateurs ont invité Gore de venir défendre sa thèse et même proposé de lui payer les 200 000 dollars d’honoraires à cet effet. L’intéressé a décliné la proposition.

A New York, il s’agissait de démontrer que le camp des sceptiques s’agrandit de jour en jour et gagne du terrain sur les alarmistes.

Le président de l’Institut Heartland déclara qu’une enquête démontre que sur 530 chercheurs dans ce domaine répartis dans 27 pays, 82% pensent que le réchauffement global est un phénomène dont la réalité est incontestable bien que seulement 56% parmi eux pensent qu’il est provoqué par l’homme tandis que seulement 35% croient que la modélisation permet de prévoir l’évolution du climat. Ensuite, à peine 27% d’entre eux sont convaincus que la connaissance scientifique dont nous disposons aujourd’hui permet d’anticiper ce qui aura lieu d’ici un siècle. Cette enquête confirme l’enquête précédente, celle du Pew Trust en 2006. On est donc bien loin du « consensus » généralement invoqué.

Il signala aussi que parmi le public se trouvent quelques « chahuteurs professionnels », notamment « ceux de la mouvance de certains scientifiques et d’autres groupes de l’extrême-gauche conspirationniste ». « S’ils vous accostent, soyez gentils avec eux et appelez la sécurité s’ils ne le sont pas avec vous. »

Parmi les orateurs on trouvait bon nombre de scientifiques ayant contribué au film The Great Global Warming Swindle, le film de Martin Durkin, présenté par la chaîne anglaise Channel 4 en juillet 2007, qui fit tant de scandale.

Lord John Monckton, un ancien conseiller scientifique de Margaret Thatcher, affirma dans un style rabélaisien qu’on « devrait parler des partisans de l’alarmisme comme de gens que font pipi au lit ». Monckton présenta James Hansen, le conseiller scientifique d’Al Gore, comme un Docteur Folamour. L’affirmation de Hansen que le niveau des océans allait monter de 426 pieds s’est avérée erronée, disa-t-il. C’est seulement « ceux qui font pipi au lit qui menacent de faire monter le niveau des mers », plaisanta-t-il.

Pour Monckton, il n’y a pas de « crise du climat » et il n’y en aurait jamais. Par conséquent, dit-il, « les dirigeants du monde doivent avoir le courage de ne rien faire ». Pour lui, le mouvement écologiste a passé toutes les bornes du raisonnable. Il est temps de « bannir » ce mouvement, car la politique qu’il prône est responsable de la mort de 40 millions de personnes, essentiellement des enfants, qui sont morts de l’interdiction de l’utilisation du DDT. De plus, la fuite en avant dans les agro-carburants a provoqué en partie les émeutes alimentaires.

Les « forces de l’obscurantisme dans le mouvement écologiste veulent provoquer un nouvel âge des ténèbres qui ramènera l’homme à l’âge de pierre, privé du droit d’utiliser le feu » conclut-il.


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