décurion 16 mai 2009 20:34

Il est couramment admis que les êtres humains n’utilisent qu’un minimum de leur capacité intellectuelle. Nous aurions ainsi, perdu la clef d’un savoir, forcemment extraordinaire puisqu’ il nous est de ce fait, fermé.
Il y a une corrélation entre le progres et le volume cervicale, puisqu’une augmentation constante est constatée depuis notre lointain ancêtre jusqu’à nous.
Ceci constaté, il n’en demeure pas moins que nous communiquons beaucoup mieux avec des animeaux domestiques, qu’avec des dauphins, dont on dit que le volume cervicale est supérieur aux humains.
Celà devrait logiquement signifier que l’innovation demande quelque chose en plus de la matière grise, qui pourrait etre la volonté, poussée par le désir ou le besoin d’aller plus loin.
Ce que nous savons de la vie, à l’état naturel, c’est qu’ elle se justifie par son utilité à l’intérieur d’un système, et il en est de même pour le muscle et l’intelligence, en avoir inutilement en trop, reviendrait à gaspiller de l’énergie rare, comme l’eau dans un désert.
Les sud amérindiens, n’ont pas inventé la roue, parce qu’ils n’en avaient pas l’utilité. Sans cheval, pas de chariot, pas de roue.
Sans cheval, pas d’armée, pas de conquete, pas de pillage, moins de découverte, moins d’expérience, moins d’innovation.
En restant sur place, les mêmes besoins se répètent de générations en générations, et sans besoins nouveaux à satisfaire, pas de cahiers des charges, pas d’ « inventions ».
Je peux me tromper, mais c’est là mon opinion, c’est la domestication du cheval qui a permis un bon en avant technologique, à une partie de l’humanité, mais nous avons tous les mêmes aptitudes intellectuelles, certaines en sommeil par mesure d’économie, mais néammoins disponible plus ou moins facilement.
Je pense que l’aptitude humaine se développe naturellement en fonction du besoin réel ou supposé.


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