Ce qui est problématique ce n’est pas l’expression violente et pornographique d’un dépit ’amoureux’ - on en a connu d’autres à travers la poésie (le "vin de l’assassin," chez Baudelaire, par ex.), qu’est qu’elle est utilisée aussi comme argument de vente (tout fonctionne de nos jours à la provoc’). De plus, la gauloiserie bien française, pour phallo, miso qu’elle fût, ne réduisait pas la femme à un simple trou à b... pour une catégories de mâles dopés à la violence.
En cela, le contexte est primodial - personne ne va assassiner sa femme en déclamant les vers de Baudelaire, alors qu’on n’a pas à démontrer l’effet délétère du rap ’gangsta’ sur les bandes qui l’écoutent.