il faut trouver un équilibre entre nos pulsions et ce que les autres peuvent en supporter.

Les limites à notre liberté, déclarer que la vraie liberté passe par-dessus celle des autres on appelle cela : du crétinisme. Le monde avec des créatures ainsi formatées ne peut que devenir imbuvable.

Et ce n’est pas la mer à boire, ça fait partie de l’intérêt de vivre de trouver cet équilibre-là.

La ringardise à l’état pur lowlow, le "tout permis pour le grand n’importe quoi"... surtout bien s’enfoncer dans l’animalité et toute la civilisation est bonne pour les chiottes.

Et bien si dans ta vie il n’y a plus que des matraques de crs je ne m’en étonnerais pas, tu deviens ainsi un pur produit de la machine de guerre déguisée en pute lubrique qui fait croire aux jeunes que le must de l’être humain c’est de perdre son humanité pour devenir un assassin. Qu’être un assassin défait la peur des assassins... un mirage contre un FA-18... une bombe à neutrons contre une bombe à fragmentation... tu comprends ?

Il y a deux versions de cet assassin qui t’est proposée en permanence dans les médias.

Ou tu deviens assassin en uniforme, les superflics à la télé et les romanisations de la guerre infecte et tu laisses libre cours à ta folie dans un endroit comme Abou Graïb.
 
Ou tu te fais gangsta-rap, autre version plus populaire du blingbling, chaînes en or et matérialisme le plus crasse, version shopping de mademoiselle Hilton en mâle quoi. Version très glamour et apréciée dans le snowbiz type Rihanna qui est si romantique de retourner vers son cogneur de superstar... que de beaux exemples élevés en modèle !!! Quelle bonne chrétienne !!! elle lui a pardonné !!! Oh et Ah.

Si tu oscilles entre ces deux-là, entre légionaire lobotomisé et starlette se noyant aveuglé par les flashs du glorieux ego, mais que tu ne t’y reconnais pas il y encore la version cagoule noire et vas-y que je te casse tout pour un autre monde où il n’y a plus rien que les cailloux à se lancer à la gueule.

Mais il y a la version directeur d’usine d’armement et tu pourrais devenir un Rothschild bis, l’homme le plus riche sur terre grâce aux énergumènes comme toi qui se laissent aller à leurs pulsions radicales sans jamais se demander s’ils ne font pas EXACTEMENT ce que le système attend d’eux pour boucler leur prison planétaire et s’enrichir sur ton dos.

Ah l’identité, cette quête n’est pas encouragée par le système qui aime bien voir des bouffeurs de hamburger d’un bout à l’autre du monde connu.

Heureusement il y aura toujours le vaste inconnu au-dela du système. Cet inconnu-là est très plein et ne supporte plus l’étroitesse dans laquelle le système babylonien veut enfermer l’ETRE et les souffrances infligées au monde.

L’être en soi est la seule identité où tu ne deviendras pas fou parce qu’elle est assez large pour supporter tous les aspects du vivant.

Mais la quête de l’équilibre personel personne ne peut s’y soustraire... rarement le système t’en parlera-t-il pourtant parce qu’il aime mieux te vendre des pilules que la santé et t’imposer des activateurs d’hormones plutôt que de te voir apprendre qui tu es.

Très mauvais pour ce système dont les tenants de la hiérarchie veulent se prouver que l’inégalité est une base de construction solide et que seule la loi du plus fort règne.

Les plus cons en sont ravis, même si eux sont dans la misère, le secret avantage est l’hyperviolence dans laquelle ils peuvent jouer les caïds et les chefs de meute. Des loups qui nourrissent des loups en somme, sachant que l’homme est un loup pour l’homme, c’est la quadrature du cercle de ce système militariste et sécuritaire où nous devenons tous des bêtes. 

Voilà bien les restes abjects de l’empire romain... nous voilà Romus et Remulus à l’abreuvoir de l tétine de Rome. Ou bien faut-il dire le règne pharaonique aujourd’hui sous mama Windsor l’empire des banksters, dans ses dernières déchéances ?

Quand par annonce on impose un nouvel ordre mondial sans demander aux peuples ce qu’ils en pensent ni s’ils sont d’accord avec cet impérialisme machiavélique. Voilà bien l’expression de l’ultra violence.

Mais elle ne justifie pas qu’on devienne stupide, au contraire, elle doit nous renforcer à nous distancer de cette porcherie qu’on ose encore appeler société et qui n’est plus qu’une machine à broyer des vies.

Mais le système ne te parlera jamais de mesure, de maîtrise de soi, autrement que pour gagner une coupe du monde ou pour devenir astronaute... donc très loin de la terre. 

Pourtant la maîtrise de soi et la bonté sont indispensables si on veut vivre à sept milliards sur une planète et pas finir en zoo-la-folie de la petite boutique des horreurs OGM et tous s’exploser dans l’ignorance générale de grandes explosions atomiques dans la haine de soi.

Il y a mieux à tirer de la vie.