Illel Kieser ’l Baz 9 mai 2009 13:31


Article pseudo objectif dont on sait dès le plan votre parti pris : 10 lignes pour la prescription et 32 lignes contre : inutile de lire la conclusion tant on la connait d’avance.

On sait ça, dès qu’il s’agit de ce problème aucun écrit n’est jamais assez objectif. pour sûr, il s’agit d’enfant objet. Il faut les traiter comme des meubles !


Par ailleurs, visiblement peu au fait de la pratique judiciaire, vous énoncez allégrement les clichés qui courent sur les principes généraux du droit pénal français : la fameuse présomption d’innocence et le non moins fameux bénéfice-du-doute-qui-bénéficie-à-l’accusé.

Des clichés ? Jje croyais qu’ils s’agissait d’un principe fondamental du droit et de l’exercice du droit. Tiens, vous avez raison, je vais vérifier ! Il est toujours bon d’actualiser ses connaissances.
(Après un petit tour sur Les principes généraux du droit) Vous voulez bien me donner des références, j’ai du mal à trouver ce que vous dites, au registre « clichés ».

Enfin les tenants de la prescription avancent bien d’autres arguments dont notamment la question de la paix sociale  : la prescription a notamment pour but de préserver la paix sociale.

C’est nouveau ça ! Vous le trouvez où. Décidément, vos références sont novatrices. J’ai hâte d’en savoir plus !
La paix sociale ? Décidément, vos connaissance me surprennent.


Par ailleurs appliquer une règle transgressée de nombreuses années auparavant alors que la perception sociale de cette règle était tout différente, est aberrant.

Ainsi, en appliquant ce principe hautement philosophique, je me prends à réflechir au procès de Nuremberg, au Tribunal international pour les crimes commis au Rwanda... Je massacre, je viole, je découpe quelques foetus en rondelles et comme « la perception sociale de cette règle était tout différente » au moment où je le faisais, je me dois de protester si l’on m’accuse ultérieurement.
Très intéressant !


Quand à la question des souvenirs, s’il existe des souvenirs traumatiques refoulés, de nombreuses études ont montré qu’il existait des souvenirs tout aussi problématiques : les faux souvenirs.

Intéressant ça aussi. Vous avez des références sur ces études ? car, que j’en sache, après quelques décades d’exercice, je ne connais pas !
Ma pratique me dit plutôt, ainsi que celle de nombreux thérapeutes, que, si ces faux souvenirs existent, ils n’en demeurent pas moins très rares. Par ailleurs, sachez le tout clinicien bien formé ne se laisse pas prendre au piège des faux souvenirs.
Changez de fréquentations, ça altère votre objectivité !

Ces faux souvenirs que les hystéries collectives inhérentes à toutes sociétés, ne cessent de produire, version contemporaine et infinie des Sorcières de Salem.

Les « Sorcières de Salem » étant là de pauvres bougres qui violent des enfants.
Ok on a noté.
Bien le bonjour chez vous. Wahou ! On est où là ?

 


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