alberto alberto 4 avril 2009 15:06

Je me demande où se situe la plus grande violence : un chef d’entreprise "invité" à partager une soirée ou une nuit aves ses employés, ou un patron retenu une heure dans son taxi , (tous les médias ont relayé cette horreur ! )
en regard de 300 employés licenciés (en moyenne un millier de personnes atteintes) "invités" à se serrer la ceinture pour certains jusqu’à la fin de leurs jours ?

Non, en fait, je ne me pose plus la question !

Ce qui est sûr, c’est qu’il y a des choses à faire et que plus on (on, c’est les syndicats, qui devraient se remuer un peu plus, le Patronat, pareil, et le Gouvernement, itou) donc que plus on attend plus ça va saigner, et que vu l’immobilisme ambiant, l’amplification de la fureur due aux licenciements : il va y avoir un ou des morts ! Et alors "on" parlera de violence : doit-on attendre cette extrèmité pour agir ?

C’est justement du fait de la crise que des vraies réformes (pas des discours) sont indispensables pour présever un maximum de "paix sociale", c’est à dire que les plus fragiles aient un toit et de quoi se nourrir : vous avez dit droits de l’homme ?

Bien à vous.


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