Amuse-moi encore, Fouad, qui passes ton temps à opposer les bédouins déshérités des banlieues à ces « chers compatriotes » coupables de tous les maux.
Les références t’agacent ? Normal. C’est l’urticaire du démagogue raciste que tu es. Tu as bien de la chance, ton arabisme te protège des foudres d’un Borat ou d’un Masuyer, qui jamais ne te feront remarquer qu’en matière de conflit racialiste, tu vaux ton pesant de Bois-Guibert, mais de gauche, l’air plus cool et moins cultivé, la pilule passe plus facilement. On te respecte, Fouad, quand tes discours sur les Blancs et les femmes feraient criser tous les progressistes.
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