Ce n’est pas la misogynie qui tue, mais la violence. Et la violence est des deux cotés, seulement il se trouve que, le plus souvent, c’est le plus fort qui a le dessus. Par ailleurs, les misogynes s’arrangent pour ne pas subir de querelles avec les femmes. En conséquence, je ne crois pas que c’est la misogynie qui tue, mais bien la psychopathie. Et la psychopathie n’est pas l’apanage des hommes. Si bien que, les féministes se trompent de combat.