Comme toute bonne mafia pratiquant le racket, la mafia des éditeurs et autres majors utilisent leurs copains bien placés au gouvernement pour arriver à leur fin et pour pouvoir engranger des bénéfices faramineux (comme avant) au dépend des artistes créateurs et des citoyens que nous sommes. Ce n’est pas étonnant qu’à l’étranger ce genre de feuilleton nous fait passer pour des ploucs ringards réactionnaires...