A quoi bon lire cinq pages équivalent papier sur des branleurs, qui se sont mérités l’appellation de Pieds Nickelés, suite à des articles de la presse italienne, réputée dans le monde entier pour publier n’importe quoi, dans la terreur permanente de louper un scoop ?
génial, Boiguibert est enfin d’accord avec moi : considérez-vous qu’il n’y a que du vent Berlusconien dans cette affaire ?
Me, too. ah ah ah !! BoisGuibert piégé à son propre jeu !!