« Mais oui on vous laissera aboyer, comme les autres sur cette antenne », derniers mots de Hees à l’adresse de Plenel, argument suprême de la Sarkozie, laisser aboyer les chiens pour ne plus parler des faits, de la réalité, du travail d’enquête.
Ce matin en écoutant le portrait peu flatteur de Kouchner par l’humoriste de service, les petits ricanements offusqués du journaliste de service, je me suis dit que voilà, les hommes et leurs petits travers peuvent être moqués, on s’en fout, et au contraire cela nous arrange, amuser le bon peuple, nous on fait des affaires, on occupe la place.