Halman Halman 11 juin 2009 23:27

Et oui Maxim, on y trouve aussi des gens qui nous annoncent des bac + 5 mais en les lisant on y croit pas une seconde.

On trouve des gens qui se disent enseignants mais qui font des fautes énormes à chaque phrase.

On y trouve des gens qui à l’évidence sont en manque pathologique de reconnaissance et d’importance. Ca sort sa science mais ça ne fait que répéter les idées préconçues simplistes piochées ici où là dans des conversations de fins de repas ou sur le net.

Ceux qui écrivent des articles à 5 suites voir plus sur des sujets qu’ils ne maitrisent pas mais que leur statut d’historien ou de journaliste leur fait croire qu’ils ont une connaissance et une compréhension du sujet bien supérieure aux autres. Alors qu’ils ne font que récolter des quantités d’infos sur un domaine dont ils brillent par leur incompétence, les assemblent en un article compilé de données sans aucun sens, sauf celui donné par leur esprit limite délirant. Typique de ce genre de comportements : reprendre chaque commentaire en corrigeant le malheureux qui a une expérience différente du thème développé. Le rédacteur se prend pour Jésus en voulant regrouper les brebies égarées de sa conviction ultra personnelle, et ceci de manière souvent des plus hautaines et supérieure, comme le prof qui fait son cours à ses élèves qui, le pauvre malheureux, est d’un avis différent.

Sont ils naïfs à ce point là pour croire que les lecteurs vont gober leurs fadaises ?

Dès le début du web les forum servaient de défouloirs aux frustrés de la reconnaissance qui ne pouvaient s’empêcher d’étaler leur soi disant science et d’imposer leurs points de vues bien étriqués et ultra personnels.

Les blogs existaient bien avant le « web 2 », encore une expression du gars qui veut sortir sa science alors que tout ce que le « web 2 » a parait il inventé existait dès le début du web 1.

Certains sèment à tous vents. Copiant collant leurs proses sur leurs blogs et sur 10 forum le même jour, toujours pour le même réflexe névrotique de se montrer et de se donner de l’importance en étalant leurs vies intimes et leurs convictions à un maximum de gens par le biais du média numérique.

On connait tous ceux qui passent tout leur temps à rédiger des articles pour AV.

Et si AV disparaissait, ils ne s’en remettraient jamais, s’ennuiraient ferme à dépérir, cherchant déséspérément un autre moyen pour s’exprimer, se montrer.

Ceux qui publient un article purement émotionnel sans recul et sans la moindre recherche sur un sujet d’actualité du jour, sans vérifier que déjà 10 gars en ont déjà écrit un quasi identique.


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