Zuper Katz ! Prima ! Sie fressen mein Brot, sie singen wie ho-ma.. Houré pabieda !

On a l’impression qu’ils se sont tous pris les couilles dans les cordes à violons ces mignons qui jouent les méchants, bouches tordues et gros plans sur les dents, ou les arpions dans les fils d’alimentation ces transfuges de fête à Neu-Neu sous acide bon-marché, stipendiés par la toute puissance trismégiste à tête d’helminthe et processeur deux bits dans la coloquinte.

Mais, faut avouer, Ils ont l’air de grandement souffrir tous ces brebis, à trépider comme ça, de-là, de-ci.. ça semble faire mal de chanter les cantiques à belzebique.. ? et de régaler les convulsés qu’ont payé.. ? Bardamu au micro.. ! Mascarille, à la trille.. ! Céline à la Mandoline.. ! Du grand Art, de l’émotion jusqu’au tréfond des basses tripes.

Tiens, ça nous f’rait presque penser que Nuremberg, des enfants de choeurs en quelques sortes, très-modeste envergure, salement idéalisses, good-guys qu’ont du céder la place, si gentiment, sans discuter, qu’en voulaient, sommes toutes, pas tant au monde entier, auraient fait des émules très-extrémistes après avoir été exterminés.. A diable diable et demi, sacrément décidé. Diable à plus-puis.

Mais ? Qui paye pour tout ça ? Ou, plutôt, qui va payer ?

Dis, Katz, tu vas leur faire sortir la 12/7 avec tes provocations ? Calmos.. Alberto a raison, faut les remettre incontinent à Albinoni, à « tu es mon berger au Seigneur », sinon, ça risque de saigner en profondeur.

Excellent !