Deux remarques annexes : le terrorisme sous fausse bannière est une pratique répandue chez les services secrets, voire pourquoi pas chez certains membres de l’armée régulière. Dès lors il n’y a pas de raison que l’Algérie fasse exception et soit au-dessus du lot. D’autre part, une enquête qui se prétend sérieuse doit examiner toutes les pistes et ce n’est pas en écartant trop vite certaines pistes que l’on respecte la mémoire des victimes. Il est donc un peu prématuré de s’insurger au motif de cette mémoire dans ces affaires toujours compliquées.