@ L’auteur.
Cet article néglige un aspect essentiel du problème, la dimension pompier pyromane des altermondialistes (comme Suzan Georges).
Comme vous le soulignez parfaitement : "Les détenteurs de capital jouent à fond la carte de la compétition
entre travailleurs et ils ont le soutien des institutions économiques
et judiciaires."
Or, dès qu’une personne soulève la question de la régulation de l’immigration, les altermondialistes sont les premiers à hurler (et le mot est faible) au racisme, au fascisme, à la xénophobie. Ce soutien hystérique et plein d’humanisme est le parfait allié des institutions économiques et judiciaires.