arturh 26 août 2009 13:45

C’est ça ! Ferrandi, et les autres, c’est vraiment le genre de personne, on leur « souffle un nom », et il répètent comme des perroquets !!!

Ferrandi, Allessandri, commme on les a vu à l’audience, si je devais penser à des couilles molles, des petites frappes qui s’écrasent immédiatement lors d’un interrogatoire par des flics, je penserai immédiatement à eux !!!!

Non mais, franchement, vous n’avez par honte d’énnoncer des énormités pareilles ! Ferrandi, s’écraser devant des flics, même en admettant qu’ils prenne des baffes ? Ou alors vous allez être carrément obligé de dire, parce qu’on en est plus à une énormité près, qu’ils ont signé les aveux parce qu’ils sont passé à la gégène pendant une semaine avant de signer n’importe quoi.

Parce que contrairement à ce que vous tentez misrablement de suggérer pour détourner l’attention, il ne s’agit pas de savoir si on leur a « soufflé » des noms, il s’agit d’aveux SIGNES, clairement, par les témoins. En particulier leurs femmes ! Obligés de revenir misrablement sur ses aveux. Pauvres femmes corses ! On voit ce que ça veut dire, finalement, le mythe de Colomba ! pauvres femmes victimes de folie machiste. Comme la femme du préfet, d’ailleurs.

Vous êtes le type même d’individu qui exemplifie la véritable tragédie de cette affaire. Ferrandi, Allessandri, ont au moins tenté, vaille que vaille, à revendiquer ce qu’ils ont fait. Quitte à reconnaître aujourd’hui que c’était une erreur qui n’a servi à rien. C’est à leur honneur. Ils ont tenté, vaille que vaille, de sauver l’honneur, et ont sait la signification particulière de ce mot en corse...

Même Allessadri, en s’accusant, finalement, en prenant tout sur lui, le fait de manière honorable. Et Ferrandi, dans sa formule inimitable au second procès pour dire que « comme Colonna dit qu’il est un homme d’honneur », etc, a sauvé son honneur à sa manière en renvoyant à Colonna la responsabilité de faire, comme lui-même l’a fait, coïncider honneur et responsabilité.

Mais vous, en essayant de couvrir ce qui n’est à l’évidence qu’un acte de lâcheté d’un type qui, à postériori, est incapable d’assumer ses actes, pas bien glorieux, il est vrai, parce que s’approcher d’un homme désarmé par derrière et lui tirer une balle dans la nuque, franchement...

On est loin du résistant juif, ou autre, d’ailleurs, s’approchant d’un officier nazi, qui était armé et pouvait savoir à quoi s’attendre, finalement.

Vous êtes le genre de type pour qui il faut paraphraser la célèbres citation : « Comme Colonna, vous voulez l’honneur d’être Corse et la liberté pour Colonna, et vous aurez la prison et le déshonneur pour Colonna ».


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