Marie-ange Marie 26 août 2009 16:49

Un des principes généraux essentiels que doivent respecter les auteurs de la procédure pénale est la « loyauté de la preuve » On en en est bien loin avec ce « procès ».
Pour abonder dans le sens de votre article, on peut citer le livre d’Amaury de Hautecloque 7eme patron du Raid, « Histoires du raid », qui aurait dû faire l’effet d’une bombe à retardement, mais....En effet, selon la théorie de l’accusation, c’est au cours des garde à vue( commencées le 21/5/1999) que le nom d’Yvan Colonna est apparu, cité spontanément par les membres du commando et leurs épouses.Or, dans son livre, ce patron du raid certifie que de février à avril 1999, Stéphane et Yavn Colonna ont fait l’objet de surveillances étroites, surveillances qui ne figurent pas officiellement dans la procédure judiciaire.Pourtant les magistrats et les policiers anti-terroristes qui se sont succédés à la barre ont déclaré sous la foi du sermentque le Raid n’était pas intervenu avant mai 1999 sur Yvan Colonna :« Nous n’avions aucun a priori contre Yvan Colonna, ce sont ses amis qui l’ont dénoncé spontanément » .Les bases mêmes de la théorie de l’accusation sont faussées. Les seules charges de l’accusation, reposent sur les déclarations (rétractées) de personnes peu dignes de confiance, déclarations contradictoires et peu concordantes( cf l’article de Stéphane Durant-Soufflant du Figaro évoquant le don "d’ubiquité d’Yvan Colonna) contrairement aux témoignages clairs et réitérés des témoins oculaires...


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