Christian Delarue Christian Delarue 31 août 2009 22:48

Je suis particulièrement critique du stakhanovisme comme d’ailleurs du taylorisme.

Je ne suis nullement contre l’entrepreneur mais c’est le cadre de son exercice qui en fait un personnage utile ou au contraire un individu néfaste et cynique. Il y a le meneur qui respecte les moins dynamiques et le loup à qui il faut mettre une muselière.

Mon dernier paragraphe débute ainsi : "Pour terminer, voici quelques revendications de libération qui laisse libre d’agir l’entrepreneur dans un cadre qui limite le travaillisme productiviste et qui demande d’abord la sobriété financière aux très riches."

Mais en rester à pareille propos serait rester en deçà de la nouveauté du néolibéralisme qui entend promouvoir l’entrepreneur conquérant de soi, des autres via le marché et l’Etat. L’Etat n’est pas neutre dans l’affaire. Les libéralisations sont son fait que celui de l’OMC ou l’UE ;

Qu’est-ce que le sionisme à avoir avec mon propos ?
Quand au totalitarisme, c’est aujourd’hui il est plus proche des diktats de la performance à tout prix et dans tous les domaines qui exclue la moindre solidarité et qui fragilise les individus, cadres compris, que du spectre communiste.

Savez-vous que la bureaucratie existe dans les entreprises transnationales qui fonctionnent au réseau et à la cooptation. Que cela touche aussi bien le public que le privé.

Le peuple-classe subit ici la domination du capital internationalisé et national tout autant que le peuple-classe chinois subit la domination du parti bureaucratico-capitaliste. Je peine à caractériser sérieusement la nature de la Chine aujourd’hui’hui. En tout cas je sais qu’il y a collusion entre ceux d’en-haut y compris derrière les affrontements des réunions mondiales à géométrie variable : les G 20 ou G 77.

CD


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