Effectivement cette affaire est surréaliste. On a peine à imaginer que Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Bocsa ait pu se « dissimuler » derrière les pseudos de Paul Nagy et Stéphane Bocsa.
En conséquence de quoi il ne peut prétendre à un préjudice intolérable.
Il a mis 6 mois à réagir - et même un peu plus d’après Charles Pasqua. Il a tenté de faire croire que c’est parce-qu’il imaginait un nième affaire sulfureuse dont son père a toujours été friand. En fait il préparait une manip du style arroseur-arrosé. Ses cris d’orfraie sonnent faux et Dominique de Villepin a eu grand tort de se laisser manipuler. Sa gestion de la dissolution de 1997 confirme que ce grand commis de l’Etat n’a rien d’un fin politique.