Djapaskero,
 Merci pour votre commentaire qui remet les pendules à l’heure.
 A Bruxelles, nous en avons des SDF comme partout.
 Certains s’« acclimatent », d’autres en meurent en hiver. La solidarité de proximité existe et une certaine ambiance permet parfois de se sentir bien sans vouloir changer de vie. Etre son propre patron, cela a aussi une valeur.
 La crise a créé de nouveaux SDF dans la désorganisation.
 Dans les Marolles, à Bruxelles, il y a l’abbé Van der Biest qui a pris le problème à bras le corps. Une sorte de Soeur Emanuelle pour les gens qui n’ont rien.
 Je ne suis pas un fan de religions mais cette manière, je l’apprécie à sa juste valeur.
 Certains endroits acceuillent les gens qui n’ont pas de quoi payer mais c’est très rare.
 Les gares pour se réfugier parfois.
 A la Noël, il y a un sursaut de bons sentiments. On ressort la vieille boîte à chaussures pour la remplir de dons et de denrées de premières nécessités.
 J’ai déjà traité ce sujet dans cet article qui avait été commenté ici, également.
 On ne nait pas SDF, on le devient. Qu’on appelle cela « destin », pourquoi pas ?