Dolores 3 octobre 2009 20:37


Le droit légal de tuer n’existe pas en temps de paix.
Il n’existe que sur un champs de bataille en pleine guerre pour se défendre.
L’individualité est alors abolie.

Il faudrait définir ce qui est désigné sous les termes d’ordre et de sécurité pour la personne et pour un gouvernement.
Est-ce qu’un voleur qui s’enfuit, sans avoir agresser personne, mérite la mort en lui tirant dans le dos ?
Est-ce qu’une manifestation syndicale (ou autre) doit être qualifiée d’émeute ou de révolte et permettre à un gouvernement, qui ne supporte pas la contestation de ses actes de tirer dans le tas ? 
Ainsi que le rappelait un commentateur, il est inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, partie de notre Constitution, le droit de se rebeller contre l’injustice et l’oppression.
 Avec ce Traité disparait ce droit ,pourtant inaliénable, puisque le Traité sera supérieur à notre constitution.

Ce genre de répression ne peut être attribué qu’ à une dictature.
Nous voyons déjà la police faire souvent preuve de brutalité excessive et sans nécessité.

Que dire de l’arrestation de cette personne qui crie « Sarkozy, je te vois ! » si ce n’est la réintroduction du crime de lèse- majesté et de la dictature en marche.

Ce qui me choque, c’est que vous semblez trouver normal que nos peuples n’aient le choix qu"entre la soumission, la servilité, ou la mort.


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