Pas la quantité -ici, la durée -, mais la qualité -bien vivre !
Les maisons de retraite sont des mouroirs, où des morts vivants se font face sans mot dire.
Au mieux, ils clamsent devant la télé !
Au pire, ils continuent jusqu’au bout, avec, pour seul plaisir, d’interminables siestes qui les reposent d’un monde de plus en plus fou.
Plutôt partir en un orgasme !