valdes 13 octobre 2009 06:08

Dur dur pour les petits nouveaux, sans piston et aux noms inconnus
Question : comment peut-on écrire un ou deux bouquins par an de plus de 350 pages ?
Je veux bien que l’on soit pro mais l’écriture ce n’est pas de la confiture, il faut peaufiner les mots, faire éclater l’histoire, enrichir les personnages, et y mettre le petit truc en plus. Des écrivains anglo-saxons donnent des méthodes pour écrire ! On voit le résultat avec les P. Cornwell et autres H. Coben, mais largement traduits et diffusés par les maisons françaises avec dans le même temps, peut-être, des petits joyaux au fond du tiroir jamais ouvert.
L’édition littéraire ne doit pas devenir une usine à produire des livres, certes elle doit dégager des marges, mais trop d’aigres confitures risquent de lasser le lecteur, d’où d’ailleurs le succès de certaines petites maisons d’éditions « Phoebus », « L’ancre marine » et avant qu’elle ne devienne plus grosse « Actes Sud ».


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