JPE 23 octobre 2009 18:56

Monsieur,

Il est urgent de comprendre que c’est justement l’arrêt de la vaccination systématique qui a permis de juguler puis d’éradiquer la variole dans le monde.

Cette stratégie d’isolement endiguement a permis de rompre la chaîne de transmission du virus entretenue par la vaccination.

Un document de l’OMS le déclare solemnellement. je ne retrouve pas le document immédiatement mais consultez le lien suivant :

http://www.alis-france.com/download/variole.pdf

Quant au terme « inventeur » utilisé dans l’article, a été utilisé à dessein.

Divers commentaires à cet article donnent des pistes d’investigation.

Sachez toutefois que Robert Gallo, Luc Montagnier et Mirko Beljanski ont participé à un séminaire de virologues qui s’est déroulé les 8 et 9 juin 1972 à l’Ecole de Médecine John Hopkins de Baltimore aux USA.

Le thème de ce 6ème Symposium International de biologie moléculaire avait pour thème : « La modification cellulaire et la transformation génétique par l’action d’acides nucléiques exogènes ».

Suite à l’intervention du Dr L Dmochowski (M.D. Anderson Hospital, Houston) qui rapportait la découverte d’un « facteur de transformation » dans des cultures mixtes de cellules de tumeur humaine (Media of co-cultivated human solid tumor cell) et de cellules leucémiques de moelle osseuse.... le Pr Montagnier (Fondation Curie) présentait ensuite ses travaux sur la transformation de l’ADN de cellules de poulet par l’action de la souche virale Schmidt-Ruppin du virus du sarcome de Rous (RSV).. Puis le Pr Beljanski de l’Institut Pasteur est intervenu pour présenter ses travaux sur les transformations génétiques d’« Agrobacterium tumefaciens » responsable de tumeurs chez les plantes.... et enfin le Pr Gallo de (NIH) présentait des résultats similaires sur des lymphocytes humain normaux stimulés par de la phytoheamagglutinin (PHA).

Nombre d’entre vous connaissent le sort qui a été réservé au Pr Beljanski. No comment !

L’article intitulé de l« ’Episome au Cancer »peux être retrouvé in extenso en page 33 de la revue Nature New Biology Vol 238 du 12 juillet 1972.

Ceci tente d’expliquer que ces divers chercheurs travaillaient à cette époque sur la compréhension des mécanismes de transformation des ADN et ARN. Techniques qui ont permis l’avènement des OGM et la compréhension, pour peu que l’on s’y intéresse, des agressions possibles sinon probables de l’action des virus d’origine vaccinale sur le système génétiques des patients vaccinés.

A l’échelle d’une population de millions d’individus, si le risque de perturbation n’est que de 0,2 pour mille (soit 12000 pour 60 millions d’individus) , le risque de dommages génétiques suite à une vaccination n’est pas nul. (Cf origine du sida suite à des programmes expérimentaux de vaccins anti-hépatite B sur des homosexuels volontaires en 1978).

Et ici, je ne tiens pas compte des dommage liés aux adjuvants.

 


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