@ Beneolentia, rendons à César ce qui appartient à César. Il a écrit dans un article publié sur l’agora, je cite :
« Je crois qu’il faut bien appeler un chat un chat, les professionnels de santé se servent de notre caisse de Sécurité sociale comme d’une chasse d’eau, et il faudra bien un jour y mettre un terme. »
Bravo Gilles Bertin, vous admettez donc que les industries du vaccin se servent de notre caisse de Sécurité sociale comme d’une chasse d’eau, et qu’il faudra bien un jour y mettre un terme. Ce jour n’est-il pas venu ?