titi titi 3 novembre 2009 08:58

Il n’y a pas a définir une identité.

Nous sommes ce que nous sommes.

Ce besoin de « définir » des cases à cocher pour « identifier » un francais n’est du qu’au constat du gouffre culturel qui sépare les autochtones des populations issues de l’immigration récente.
Ce débat n’est qu’un alibi pour traduire en arguments « politiquement corrects » une réalité : l’immigration africaine n’est pas compatible avec la population francaise.

Pourquoi ne pas le dire tout simplement ?

Ce n’est pas un problème de langue : les immigrants européens du début du 20è ne parlaient pas francais...
Ce n’est pas une histoire de laïcité : les immigrants latins étaient très religieux ;
Ce n’est pas une histoire de place la femme ou de voile : les immigrants du confins du sud de l’Italie ne pratiquaient pas beaucoup l’égalité des sexes...

Il n’y a pas de barrière à l’intégration. Sauf les immigrés eux mêmes.. du moins certains immigrés.

Pourquoi ne pas le dire tout simplement ?

Quand j’étais petit il y avait dans ma classe des enfants issus de toutes orgines...
Il y avait des Italiens prénommés : Ludovic, Philippe, Jean-Charles, ...
Un Espagnol : Simon
Un Suisse allemand : Jean Michel
Un Marocain : Icham.
Tous les parents de ces enfants ont fait le choix d’un prénom « francisé » sauf ... les marocains.
Plus aucun n’avait la nationalité de ses parents sauf... le marocain.
Aucun ne cherchait à obtenir une nouvelle nationalité sauf... le marocain (qui était franco-algéro-marocain) et cherchait à obtenir la nationalité belge ??????

Voilà de bons tests pour montrer la volonté d’intégration :
- Le choix du prénom des enfants : c’est prouver la volonté d’intégration ;
- Le choix de la nationalité francaise à l’exclusion de toute autre : c’est prouver la motivation à devenir francais, au delà d’une aubaine pour profiter de prestations sociales ;



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