Le pluralisme des idées et des découvertes permettent la confrontation, la clarification, mais ajoutent aussi à notre questionnement d’autres interrogations. il n’y a rien de nouveau sous le soleil, comme dirait l’Ecclésiaste !
Il est vrai que concernant le Christ, nous n’avons pas démontré qu’il n’existait pas. Nous n’avons pas non plus de preuves matérielles de son existence. Cela dit, avons-nous des preuves matérielles de l’existence de Platon, de César, voire même de Bouddha ? Que reste-t-il ? des témoignages écris ( suite à une transmission orale et aussi écrite).
Ce qui concerne le Christ est de l’ordre du spirituel, de la foi, qui peut aussi donner à ceux qui y adhèrent une vie concrète passionnante. Et puis, pour en rajouter, il y a des choses qui peuvent compléter notre scepticisme : On peut signaler que dans l’histoire l’Eglise n’a pas toujours été un modèle stimulant et démonstratif d’amour et de foi. Evidemment, on peut y déceler dans ce type de critique une confusion entre l’intimité de la foi religieuse et le cléricalisme.
A mon avis, le Christ, transmis, est un personnage plus que conceptuel ( pour reprendre l’idée de Deleuze du personnage conceptuel), il est un personnage déclenchant : il fascine, il dérange. il rend rarement indifférent !
Chaleureusement,
Christian
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