comment accorder le moindre crédit à ce qu’ont fait les religieux de l’existence de cet homme
quand on sait ce qu’est la puissance de la connaissance et de la communication et lorsque l’on considère avec un peu de recul que ces deux moyens se trouvaient entre les mains d’une seule institution, quel est le naîf qui peut penser que tout ce qui a été véhiculé par l’église n’a pas été un tant soit peu mis en conformité avec ses intérets
lorsque on se rend compte que la vérité sur l’assassinat de Kennedy par exemple n’est pas clairement élucidé, que de grandes manipulation d’opinion ont lieu tous les jours du fait des gouvernants ou des grandes entreprises, comment alors faire crédit à ce qu’on écrit rédigé corrigé un clergé omniprésent et omnipotent et ce pendant quasiment vingt siécles
alors permettez-moi d’avoir un sérieux doute non pas sur l’existence de celui que vous appelez jésus mais plus sûrement sur ce que les écrits soigneusement pilotés par le clergé lui ont fait dire ou faire
il m’apparait comme une évidence que la croyance en cette histoire telle qu’elle a été rel&tée jusqu’à nos jours ne mérite pas plus d’attention que celle qu’on peut accorder à une historiette banale
et un peu plus sérieusement que le phénomène de la croyance est une sorte de démission, une façon de se dire qu’on cesse de se poser des questions et que l’on admet une vérité qui est pour le moins absurde
quelle que soit la religion évoquée, il s’agit d’une supercherie qui ne peut que séduire les adeptes qu’au prix de l’abandon de toute rationnalité
le verbe croire est vraissemblablement le pire des mots
quant à l’existence de jésus soit c’est une réalité soit c’est une fable et il n’y a aucune raison de croire ou de ne pas croire
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