L’existence d’une homosexualité animale (et les animaux sont plus proches que nous de la nature entendue dans un certain sens) est reconnue par : Aristote (perdrix), Athénée (colombes, perdrix), Elien (cailles), Horapollon (perdrix), Pline l’Ancien (cailles, coqs, perdrix), Plutarque (coqs). Décidément, les perdrix ...
Animaux signalés depuis par de bons observateurs : abeilles, castors, chauve-souris, chèvres, chiens, hannetons, lions, lucioles, pigeons, poulains, poules, singes, tourterelles et vaches !!
Cette homosexualité animale est envisagée mais son existence est niée par les textes ou auteurs anciens suivants : Platon (Lois), Ovide, pseudo-Phocydide, Plutarque, Lucien, Longus, Jean Chrysostome, Célius Aurélien, Agathias (VIe siècle), Justinien, Altercation …, Vincent de Beauvais. Cette négation implique cependant une perception ancienne du concept d’homosexualité, ce qui démolit la thèse constructiviste.