@ Sandro
La poésie prenait son envol, ouvrière en guêpière, elle aérait le coeur...
et la chute, brutale, incontournable, implacable, inattendue... pour moi,
qui gardais le regard et l’esprit envoutés par la frivolité de dentelle et satin,
maintenant je comprend, la vie, c’est la poésie en guêpière avec la femme dedans,
la vie, c’est ce qui met en joie et qui ouvre, c’est l’élan soutenu et confiant.
Bonsoir Sandro