Désolé de ne pas pouvoir participer à cette discussion de façon constructive, n’étant pas en France, et donc n’ayant pas vu le téléfilm, mais je suis aussi un « fan » de Modiano, sa musique triste si particulière, pour les quelques livres que j’ai lus de lui : Les Boulevards de ceinture, Villa triste, Rue des boutiques obscures, et le dernier sur sa mère : « Dans le café de la jeunesse perdue », très beau. (j’ai évidemment vu aussi le film de Malle)
Je ne connaissais pas précisément son histoire, à la lumière de laquelle je comprends mieux ses troubles dans la quête d’une reconstruction douloureuse d’une identité familiale.
Mais j’ai eu peur, en lisant, sous la plume d’Armand : « Modiano aurait aimé le film », qu’il ait disparu ; il semble bien qu’il n’en est rien ; pourquoi ce conditionnel ?
Par ailleurs, j’aime aussi beaucoup Laura Smet, chez qui on ressent une profondeur sensible, ambiguë, un peu proche de la douleur ; pour tout dire, un personnage très « modianien »..
En tout cas, merci pour l’article, et à Gazi pour sa participation ; je tacherai de rouver les livres de Maurice Sachs..
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe