@ Gourmet et @ Décurion,
Les gains de productivité sont constants depuis la révolution industrielle et nos besoins vitaux ne changent pas. Alors il y a 2 solutions :
- soit on continue à travailler comme des bourrins pour amasser de plus en plus de choses futiles... jusqu’à ce que la nature nous rappelle à l’ordre avec l’épuisement des ressources sur Terre.
- soit on travaille de moins en moins. C’est beaucoup plus responsable à mon avis et, quand on voit les chiffres du chômage, beaucoup plus solidaire.
@ L’auteur
Vous écrivez :
Or, il ne faut pas être un brillant économiste pour savoir que les progrès technologiques et que la main d’oeuvre des pays d’Asie, ne vont créer, à terme, dans les pays d’Europe, que des emplois de scientifiques ou de techniciens très spécialisés.
Petit à petit, mettez-vous dans l’idée que la Chine et l’Inde commencent à avoir des ingénieurs qui n’ont pas à rougir de leur formation ou de leurs compétences. Non, en France ce ne sont pas des emplois scientifiques très spécialisés qui vont rester (car délocalisables comme les autres). Seuls les emplois de proximité vont rester.
Par contre, l’idée de taxer les importations selon le temps de travail est vraiment brillante. Seule une telle mesure peut sauver la mondialisation d’une confrontation appauvrissante.
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