Merci pour vos réponses mais nous n’avons pas le même avis sur l’homme et son « indispensabilité ».
Pour moi, moins il y a d’hommes sur cette Terre et mieux la nature se porte. Les séquoïas se débrouillaient bien mieux sans l’homme qu’avec. Dans certains parcs naturels arides, l’homme abreuvait tous les animaux et défavorisait ainsi les espèces qui s’étaient adaptées à la sécheresse.
Il y a des millions d’’exemples comme cela où l’homme se croit indispensable, comme la mouche du coche, et où pourtant, il ne fait que des conneries. Bien sûr, on est anthropocentriste ou on ne l’est pas. Je ne cherche pas à vous convaincre et je comprends mieux vos explications. Nous avons effectivement une divergence profonde sur la place de l’homme sur cette Terre.
Je vous citerai juste une phrase de Baudelaire (Le Voyage) :
Où l’Homme, dont jamais l’espérance n’est lasse,
Pour trouver le repos court toujours comme un fou !